Riches paysans de Côte d'Ivoire
Il existe dans le sud de la Côte d'Ivoire, des agriculteurs qui détiennent de vastes domaines et emploient une nombreuse main d'oeuvre. Une observation attentive, fondée sur une participation à leur vie quotidienne, révèle une différence de degré, et non de nature, entre ces planteurs et l...
Guardado en:
| Autor principal: | |
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| Formato: | text |
| Lenguaje: | FR |
| Publicado: |
L'Harmattan
1989
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| Materias: | |
| Acceso en línea: | http://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:27410 http://biblioteca.clacso.edu.ar/gsdl/cgi-bin/library.cgi?a=d&c=fr/fr-001&d=27410oai |
| Aporte de: |
| Sumario: | Il existe dans le sud de la Côte d'Ivoire, des agriculteurs qui détiennent de vastes domaines et emploient une nombreuse main d'oeuvre. Une observation attentive, fondée sur une participation à leur vie quotidienne, révèle une différence de degré, et non de nature, entre ces planteurs et leurs manoeuvres. Tous participent d'une économie paysanne. Le faste des Agni, qui ne peut être réduit à la seule intrusion du monde moderne, est une clé pour comprendre le but de l'activité économique. L'accumulation individuelle, facilitée par le régime des terres et l'organisation du groupe de production, est orientée vers la formation d'un trésor à finalité collective. Cette économie du trésor, ancrée dans le passé, est amplifiée de nos jours par les revenus du cacao et du café, par les incitations de l'Etat. Elle se traduit par la présence d'une paysannerie riche |
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